C'est un jour comme les autres, un après-midi d'Octobre.
Le propriétaire de la maison est allé dans la bibliothèque se préparer un Martini, et des notes sur la lecture, Julio Cortazar...il est maintenant dans le confortable canapé rouge...soudain, l'homme voit cette belle brune, assise en silence. Il n'y croit pas mais c'est vrai. Qui est-elle? D'où vient-elle?
Ses lèvres sont luxuriantes et rouges, ses yeux sont sauvages, son corps est délicieusement féminin.
Elle est presque nue et le regarde. Le gros et joli cul qui sera envoyé à l'extase, repose doucement sur la chaise...
Elle est juste habillée d'un petit caraco, qui renforce la beauté de ses cuisses de soie...sans rien dire, elle s'agenouille devant l'étranger, et commence à lui faire une pipe.
Elle suce avec plaisir, car elle aime sucer des bites. Sans rien dire, sans explication, elle suce le bâton de miel, dur comme un tronc d'arbre.
Maintenant, elle suce avec passion le joystick de chair et les bonbons bien fourrés dans sa bouche...en fervente suceuse ses lèvres enflent de façon exubérante à chaque glissement, qui est un délice.
Avant l'éjaculation, comme en futurition ou en rêve, la lolita monte sur le pénis en érection; le morceau de chair glisse doucement...elle commence à baiser glorieusement, sans rien dire, baiser, baiser, baiser, c'est ce qu'elle veut, rien de plus; et la pénétration est alors massive et la queue glisse tout doucement...
La jeune fille pleure presque de plaisir: elle baise cette bite, maintenant furieuse, possédé par l'ardeur vaginale...maintenant, c'est comme un flash d’un “film” de la Sharon Stone, mais en 1976.
Parce qu'on est en 1976…
Comment dire?
L'homme attrape les hanches de la fille, et le sexe devient plus chaud, tandis qu'elle ne s'arrête pas...elle veut du sexe vicieux, avec la queue dans le cul et le con: les cassettes de James Taylor et Albéniz tremblent sur la table, tant ils baisent fort...
Elle veut baiser comme un animal, sans rien dire...et avant l'éjaculation, la jeune fille se lève pour mettre la queue dans son cul, pour finir bien sale...
Elle veut du lait dans le cul...mais, tout à coup, elle change de position...
C'est comme un flash de lumière et...maintenant elle est double.
Il voit cette merveille et il n'y croit pas: maintenant, elle et son double montent la même bite. Comment est-ce possible..?
L'homme désespéré d'excitation et de stupeur lance un jet de lait chaud sur la face des deux femmes, elles sont une...
C'est comme un polaroïd de sexe anal du futur, comme la bite dans le cul, du technicolor ou Cinecittá sous un soleil électrique, flash de lumière ou photo.
Elles sont deux, et la queue est à la fois à l'intérieur et à l'extérieur....Mmm...Très bien la bite dans le cul, à l'intérieur de ces murs mouillés, et au dehors...
L'orgasme leur fait un cul plein de lait, mais ce n'est pas encore fini: elles continuent à jouer avec leurs cons avec une branlette.
Elle est très belle, comme une photo vertigineuse; un Picasso rompu en un "shout"...les hommes? Bah, les hommes aiment les surprises chaudes.
Et les filles timides, très salopes, qui sait. Je ne sais pas.
C'est comme une étrange ardeur...mais elle est comme le vent argenté qui fait courir les juments du Pays Alsacien, je pense, comme elle aime baiser tout au long de l'après-midi...
[sequence]:
En un éclair, elle a disparu à travers le mur, où est-elle?
Peut-être qu'elle est de retour? " La joie est venue à la bibliothèque", dit l'homme et...il se réveille alors: "Où suis-je? Ai-je rêvé??
L'homme va prendre une douche et la porte de la bibliothèque se referme lourdement derrière ses pas.
Des cassettes de James Taylor sont tombées sur le tapis.
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